Rescapés de l' Amazone, de ses pirahnas, alligators et Jivaros, nous voila de retour à notre point de départ : l' étang de Léon.
La partie en eau a été classée en mille neuf cent soixante huit; les rives, en mille neuf cent quatre vingt.
La partie occidentale et le courant de Huchet, ont été intégrés au réseau Natura 2000 en mille neuf cent quatre vingt huit.
Sa faible superficie ne lui fait pas mériter le nom de lac. Il reçoit ses eaux d' une petite rivière : La Palue, et de ses affluents. Il se déverse dans l' océan Atlantique par un petit fleuve côtier : le Courant de Huchet.
Sur ses rives sauvages, quelques cabanes typiques : les Tonnes, qui servent à la chasse au canard.
Certaines, plus sophistiquées, comportent des cages,
D' autres, en ruines, servent de refuge aux mouettes.
Mais, l' étang n' est pas que le domaine des chasseurs de canards, l' été est dévolu aux vacanciers amateurs de baignades et autres pédalos.
La petite plage est agréable, en particulier pour les enfants qui peuvent goûter aux joies de la baignade sans le risque des vagues océaniques. ( Mais qu' est-ce qu' on a pu s' amuser mes copains et moi à se faire rouler dans les vagues, en un temps où la recherche utopique du risque zéro n' existait pas ).
Et qu' est-ce que j' aurais aimé ces cordes élastiques, moi la fan des anneaux et autres trapèzes quand j' étais jeune depuis beaucoup moins longtemps que maintenant.
Mais, voilà venue l' heure de prendre le chemin du retour. Bye Bye Léon !
Encore une dernière photo, au passage, de cette église au curieux chapeau pointu sur un clocher massif et trapu, et au porche rustique.
A plus tard pour une nouvelle balade !