La belle bretonne est enserrée dans ses remparts, au pied desquels, des jardins invitent à la rêverie des promeneurs solitaires.
Cette année-là, ils étaient magnifiquement fleuris.
Une passerelle, une porte voutée et une petite rue tortueuse, et nous étions rentrés dans la vieille ville de Vannes, puisque c' est d' elle qu' il s' agit.
Cette petite rue aboutit dans la rue Saint Vincent, une des plus connues, sinon la plus populaire de Vannes, dans laquelle se trouvait un pâtissier qui faisait le meilleur kouign amann qui soit.
Je n' oubliais jamais de lui faire une visite à chacun de mes séjours à Vannes. J' avais un autre point de chute, dans une petite rue, derrière le musée de la Cohue, qui était mon escale " caramels " avant de reprendre la route de la Gironde.
J' en repartais toujours avec trois kilos de caramels au beurre salé, ( mais non, pas tout pour moi !!! ); la marchande rigolait quand elle me voyait arriver, et me donnait toujours , en cadeau, une petite poche de cinq ou six caramels, " pour la route " me disait' elle.
La fameuse rue Saint Vincent, s' ouvre, face au port de plaisance, par une porte monumentale, au sommet de laquelle, le saint veille.
Nous la franchirons une autre fois.