Nous voilà donc parties à l' assaut de la dune. Une " bonne " surprise nous attend : arrivées au sommet du chemin de sable.........nous voyons se dérouler un sentier qui monte encore plus haut.
Nous sommes dans la forêt et les cigales s' en donnent à coeur-joie de cymbaliser d' une façon assourdissante et effrénée. Le sol redevient plat, et nous commençons à voir de belles échappées sur le lac.
Mais voilà que nous montons encore;
Nous nous offrons quelques belles glissades sur les aiguilles de pin. La pente vers le lac devient un peu plus raide.
Par endroit, le sentier semble se perdre;
Et, brusquement, montre qu' il est bien là, et............qu' il grimpe encore !
L' amie parisienne monte obstinément et méthodiquement. Je ne suis pas sûre qu' elle ne me maudisse pas dans son for intérieur.
Les vues sur le lac valent bien quelques tiraillements dans les mollets.
Puis, tout à coup, on redescend. Dernière vue d' en-haut.
Nous sommes maintenant en terrain plat. Il y a des flaques de bruyères dispersées comme au hasard.
Nous sommes maintenant en bas, attablées au petit café, face au lac que nous ne dominons plus,
Et à côté de la plage où les aoûtiens qui viennent d' arriver ont bien besoin de bronzer un peu. ( Et si certains veulent se baigner......);
Quand à nous, satisfaites, nous avons bien terminé les
Nous avons déjà en tête la prochaine balade.
( Nous ne savions pas qu' elle ne pourrait se faire et que celle-ci était la dernière avant que l' amie ne rejoigne son cher Paris ).