Pendant plusieurs semaines, j' ai été tentée de propager la pensée que j' ose écrire ce jour. Son auteur lui-même ne l' a pas signée. Alors j' ai tergiversé.
Et puis, il y a la campagne électorale, et l' indigence de certains, le creux de quelques autres, qui la rendent la plus consternante de toutes celles que j' ai connues, ont été comme un aiguillon planté dans un endroit inconfortable, et voilà, je me lance.
" Si ton labeur est dur, et si tes résultats sont minces,rappelle-toi qu' un jour, le grand chêne a été un gland comme toi ".
Oula ! J' ai honte !