Le Père Noël nous a dit au-revoir jusqu'à l' année prochaine, du moins, je l'espère.
Et l' année deux mille dix sept va mourir sous un ciel de soufre.
L'heure, pour l'instant, est aux festivités, et même si l'on reste " sage " ce soir, on ne peut que se réjouir de nos traditions de fête.
Cependant, quelque chose me gêne beaucoup, et, nous y sommes, je sens que je vais m'offrir l'ultime râlante de l' année.
Nous sommes en France, donc, chez nous. Alors, ce qui me gêne vraiment, c'est cette impression que nous sommes " comme " en état de siège dans notre propre pays. Est-ce normal que l'on soit obligé de mobiliser policiers et gendarmes pour protéger la moindre manifestation, les gares, les aéroports, les grands magasins..........
Je me crois revenue à Alger au début des années soixante.
Et je ne comprends pas comment on peut accepter d'être dans ce contexte dans notre propre pays.
La France, on l' aime ou on la quitte, a dit un jour je ne sais plus qui, qui avait peut-être le pouvoir de remédier à cela, mais qui n'a rien fait.
Bon, ce soir, oublions tout ça, et que l'on nous oublie aussi. Qu'on nous laisse enterrer l' année joyeusement, car, toute neuve, est là, encore blottie dans un repli du temps, l' espérance d'une année nouvelle éclatante et heureuse.
C'est celle que je souhaite à tous mes lecteurs :
UNE ANNEE DOUCE COMME LE MIEL
A bientôt, en 2018
Ramon 06/01/2018 14:42
divagations-et-balades 07/01/2018 19:43
khaz 01/01/2018 09:16
cocomil 01/01/2018 00:08