J' aime bien quand l' humour décape et lessive un peu. Pour ce genre d' exercice je m'adresse à un spécialiste : Woody Allen.
Il est le symbole de l' humour juif new-yorkais, mais il porte plusieurs casquettes ainsi qu' il sied à un surdoué.
Réalisateur, scénariste, acteur, il se met en scène lui-même, souvent caricature de l' intellectuel juif new-yorkais en proie à d' affreux problèmes existentiels. Il est le recordman des nominations aux Oscars pour l' originalité de ses scénarii, et a obtenu quatre Oscars en tant que réalisateur et scénariste.
Fan de jazz, il se produit régulièrement comme clarinettiste.
On connait beaucoup de ces phrases à l' emporte-pièce qu' il sait très bien distiller, et on n'a que l' embarras du choix.
J' en ai choisi une aujourd'hui qui correspond à mon humeur politique de ces jours-ci, et même des autres en fait, car je râle de trop sentir mépris et condescendance, arrogance et désintérêt pour les " gens qui ne sont rien ", et de me trouver dans la position du homard qui sent que l'eau va bouillir " en même temps " que son impuissance à éviter la cuisson complète, et alors là..........
Voici la phrase, et je vous prie d' en excuser la trivialité mais je ne fais que rapporter :
" Le fascisme c' est ferme ta gueule, la démocratie c' est cause toujours..."
Si quelqu'un voit une vraie différence !!!!