Non, je ne me prends pas pour Zarathoustra, mais il n'empêche, la colère finit par me submerger.
J'ai essayé de la contenir par l'ironie, mais le spectacle que donnent les habitants de ce pays rendent vains tous mes efforts.
Je suis née libre, dans un pays libre, au sein d'un peuple qui avait appris au monde LA LIBERTE;
C'était un peuple fier et frondeur, qu'un président, sorti du chapeau d' un sorcier malfaisant, a traité de Gaulois réfractaires, avant de le déclarer inculte, illettré, fainéant, coupable de crime contre l'humanité.........
Et tout cela sans entraîner la moindre réaction opposante.
Ce peuple, déjà à genoux, est, depuis quelques mois victime d'un ennemi monté en épingle : un virus pour lequel a été décidée une approche spéciale.
Au lieu de laisser faire les vrais médecins dont c'est le métier, le pouvoir politique s'est emparé du pouvoir médical sans se rendre compte qu'il se déguisait en Diafoirus.
Au lieu d'isoler les premières victimes, de les soigner, et de mettre en place des mesures prophylactiques, on a laissé s'étendre la contamination et, pour 1% de la population atteinte, on a isolé le peuple entier.
Et le peuple s'est laissé voler :
* sa liberté de circulation en violant la constitution
* sa liberté de voir ses parents, ses enfants, ses amis....
* sa liberté de travailler, ruinant ainsi son économie " en même temps " que celle du pays entier,
* sa liberté de se distraire
* sa liberté de se faire soigner de la façon la plus efficace possible, en discréditant, pour des raisons finalement pas si obscures, un médicament connu et en vente libre depuis de nombreuses années, qui, prescrit à bon escient, s'est révélé le plus efficace.
* sa liberté d'expression, que vient achever l'inique et révoltante loi Avia dont on déplore déjà qu'elle ne s'intéresse pas aux messageries privées.
Et que se passe t-il ?
RIEN ! Le peuple accepte tout sans broncher.
Comment en est-on arrivé là ? Comment, et par quel tour de passe-passe, ce président controversé a t-il maintenant le pouvoir quasi absolu ?
Il me semble y voir deux raisons somme toute assez classiques :
* la propagande de la peur doublée d'une infantilisation du peuple,
* la peur elle-même qui précipite les gens à en faire encore plus qu'on ne leur en demande.
Et voilà comment d'un peuple libre on fait un peuple soumis.
Et d'un peuple soumis un peuple méfiant; pas vis-à-vis du pouvoir qui le soumet, mais méfiant vis-à-vis de ses semblables qu'il ne faut plus toucher, embrasser ou seulement approcher de trop près.
Et puisque soumettre est à la mode, je veux juste soumettre deux pensées à méditer.
* La première est d'Aldous Huxley :
" La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter ".
*la seconde est de Friedrich von Schiller :
Les grands arrêteront de dominer quand les petits arrêteront de ramper ".
SINON................
TROP TARD !!!!!!!!!!!
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Le Mousquetaire des Mots 07/06/2020 11:01