Ce pourrait être la grande question à se poser quand un nouveau dirigeant arrive à la tête d'un pays.
Roi, dictateur, ou président d'une république, étant élu du peuple ou s'étant emparé du pouvoir, peut-être même par roublardise, on se demande : Qui sera-t-il ? Le géant qui mènera le pays vers la grandeur ? ou le nain qui précipitera son déclin ?
Alexandre le Grand et son insatiable besoin de conquête ?
Ou le roi Lear à la recherche du sens de la vie mais, si " déboussolé " dans la tempête ?
Alors, peut-être vaut-il mieux souhaiter celui dont on n'aurait pas à dire ce que le duc de Gloucester dit dans la pièce de Shakespeare :
" Il sent à présent son titre flotter sur ses épaules, telle la tunique d'un géant dérobée par un nain "
Bon dimanche !