Décidément, ce Périgord Noir réserve de bien belles surprises. Nous sommes, ici aussi, dans un des plus beaux villages de France.
De petites rues tortueuses,
un vieux puits;
et, bien sûr, la forteresse qui domine le village de sa masse imposante, et qui devait être rassurante, car, elle contrôlait la vallée, grande voie de passage, mais aussi, grande route d' invasion.
Nous nous rapprochons,
nous lisons un avertissement aux visiteurs du
château sur une grande pancarte.
et nous franchissons le portail d' entrée. Un sas, et guichet obligatoire.
Je vais laisser là, la parisienne, qui ne se sent pas d' attaque pour crapahuter, et me voilà partie vers l' intérieur des remparts. D' ici, une vue superbe sur la vallée.
Puis, je rentre dans une sorte de grande cour, et, à gauche de l' entrée, des stalles, qui ont abrité les chevaux de Jeanne d' Arc et de son compagnon d' Arme,, lors du tournage du film en mil neuf cent quatrevingt dix huit, par Luc Besson.
Vu de cet endroit, le château est écrasant;
Je trouve cette architecture militaire magnifique;
Je vais encore me faire traiter de militariste. Mais c' est vrai ! J' aperçois une petite porte, je me dirige vers elle.
Au passage, un coup d' oeil par dessus le parapet, et, je vois, en bas, miroiter le rivière. Les kkayaks ne sont plus que des points insignifiants.
Les kayaks ne sont plus que des points insignifiants. Je rentre dans le château.
A plus tard !