Cet après-midi, en repensant à mon article sur le marché de Niamey, j' ai soudain éprouvé un vague malaise, comme une culpabilité timide et ténue; qu' est-ce qui m' arrive !!! Et soudain, j' ai compris, je n' ai même pas montré ce plat-parapluie qui m' a évitée d' être mouillée comme une poule à Marseille. Hop ! avant de partir, un bond vers l' appareil photos, et vite, j' ai réparé l' oubli.
Donc, voilà le héros :
vraiment destiné à être mouillé dès qu' il met le nez dehors, car je l' ai posé sur la table bleue qui garde encore les traces du dernier ( ? ) et récent orage que nous venons d' avoir, et qui se trouve dans la petite maison de thé que nous nous installons dans le jardin de l' ouest. De guingois, car le terrain est .....ondulé.
Voilà donc réparée l' injustice, que dis-je, l' outrage, fait à ce pauvre émigré malgré lui.
Je vais pouvoir passer une soirée tranquille !!!!
A demain.....