Etiré le long du fleuve, surplombé de ruines, de maisons troglodytes et de falaises, le village offre, plein sud, des maisons recouvertes de lauzes ou de tuiles vieux rose, et dont les murs sont de la couleur de la falaise. C' est l' un des plus beaux villages de France.
Une gabarre, bateau traditionnel de la région, arrive pour débarquer son lot de touristes, et en embarquer d' autres.
Les ruines du château, qui fut la résidence-refuge des évêques de Sarlat pendant la guerre de Cent Ans, surplombent la cité.
Au bout du quai, le château de La Malartrie, est en réalité sur la commune de Vézac.
Juché sur la falaise, flanqué d' une tour ronde, on aperçoit le manoir de la famille Tarde, qui fut, en son temps, amie de Galilée.
L' église, avec son toit de lauzes, se devine dans la verdure qui a envahi la falaise.
Il y a quelques bien jolies maisons, aux murs de pierres sèches, avec leurs toits pentus, aux coins discrètement incurvés, comme pour se donner un air pseudo-chinois. La parabole paraît bien anachronique ici.
Des escaliers, accrochés à la paroi, permettent d' accéder aux ruines du château, et des vieilles demeures.
De ravissantes ruelles en escalier, permettent d' escalader le village.
On devine encore des vestiges d' habitations troglodytes; et certaines peut-être encore habitées.
Pendant ce temps, la calme rivière sur laquelle glissent les kayaks, est indifférente aux embouteillages qui encombrent la voie étroite qui longe ses berges.
Nous essayons maintenant de quitter ces lieux.
A plus tard !