En hommage à Rostropovitch, la suite pour violoncelle seul n°1 en sol
majeur de Bach. Il y avait aussi, qui a remporté un énorme succès, une cantatrice américaine, Joyce Didonato, superbe mezzo soprano,
Et la contralto Nathalie Stutzman, et son petit orchestre baroque qu'
elle dirige de main de maître.
Nous avons eu aussi la chance d' avoir Milos, le jeune guitariste
monténégrin, qui fait figure de prodige, qui nous a interprété un beau concerto d' Aranjuez.
Je n' oublie pas la harpiste, Emilie Gastaud, qui nous a joué un
ébouriffant tango du compositeur bordelais Damase. Le trompettiste Ibrahim Maalouf qui nous a offert une prestation un peu jazzy, très appréciée aussi. Et la sensation de la soirée, la
jeune trompettiste de quatorze ans, Lucienne Renaudin-Vary, déjà virtuose.
Surtout, je ne veux pas oublié l' ONBA, qui a superbement joué " Dans l'
antre du Roi de la montagne " extrait de Peer Gynt de Grieg, air que j' aime beaucoup aussi.
D' autres encore qui nous ont régalé, tel le pianiste Alexandre
Tharaud, le baryton bordelais Florian Sempey; je suis sûre d' en oublier, qu' ils me pardonnent, le spectacle était si riche, et de telle qualité !
Je n' en regrette que plus de ne pas trouver dans la base de données
musicales, les interprétations des différentes partitions par ceux qui étaient là ce soir. Joyce Didonato mise à part.
Et comme tout a une fin, il fallait terminer sur une note joyeuse et
légère, et qui mieux que Johann Strauss pour cela ? Alors en avant pour Trish-trash polka.