Dix sept heures trente, Victor doit en avoir fini avec sa séance de torture. Nous allons quitter ce parc, par un petit chemin qui ressemble à un chemin de ronde. Eh bien ! Non ! Je le prends seule, ma soeur se trompe et reste sur le chemin d' en bas, égayé par les forsythias.
D' en haut, j' ai des échappées sur le lac et l' ilot boisé qui en occupe une partie.
L' eau, à cet endroit, est d' un vert-brun assez glauque, lisse et sans reflet.
Une dame en bleu a l' air de se poser de sérieuses questions, sur ce ponton, défendu par un cygne blanc assez hargneux.
Il suffit de quelques pas, et le lac retrouve des irisations de ciel;
Et ici, des rides d' argent au-delà des berges vertes et rousses.
Ailleurs, il nous offre sa grâce romantique,
Et ses eaux vertes transparentes.
Parfois, elles se font très noires pour mieux avaler le soleil.
Ou capturent des arbres pour mieux piéger les canards.
Mais, c' est sur ces images de sérénité, que nous allons quitter ce parc.
Empreintes d' une totale.......zénitude !!!! Bienvenue pour affronter la rocade à cette heure-ci !!!